Ils ont eu de la chance, à Lambres-lez-Douai, mais vraiment de la chance benié!

Ce matin, il pleuvait, il ventait et il ne faisait que 10° C, même pas. Les "Harmonistes" qui donnaient une aubade, étaient arrosés et ils ont du avoir froid aux doigts!

Et à 14h30: un beau soleil, les majorettes pouvaient enlever leurs joggings, Monsieur le Maire avait le sourire et le défilé s'est déroulé presque sans nuages, j'exaggère un peu.

Dommage que l'on n'a pas pu identifier les différents groupes, non pas parce qu'ils se suivaient de trop près, au contraire, les pauses étaient raisonnables, parfois un peu longues. Mais un petit panneau aurait permis aux spectateurs de dire si les musiciens du Canada étaient en fait des Flamands, et si les jolies dames russes  étaient  des Polonaises ou Ukrainiennes. En tout cas, ces dernières étaient bien accompagnées!    

Je  n'ai pas assisté à tout ce défilé, mais il y avait encore d'autres groupes  folkloriques intéressants:

 Haut en couleur, le rythme entrainant - il y avait du soleil et des nanas ;-)

Voilà, le weekend est fini et  il re-pleut ce soir!   

une super promenade , un moment musical très intéressant à travers l'espace de la salle, des oeuvres curieux ...   un ensemble un peu angoissant, glauque aussi et engagé :

Ce tableau est beaucoup plus épatant en vrai , comme un puzzle fait de mille et une choses , des mini-jouets et objets insolites , étonnant!

une belle entrée , rue des Wetz à Douai!

On redécouvre la chapelle avec quelques élèves intéressés et avec , comme guide, Madame Delecambre et Monsieur Bigotte. Comme cette chapelle néogothique, qui date de la présence des bénédictins anglais à Douai et fut construite en 1840 , est cachée derrière les bureaux de notre lycée, elle n'est pas toujours accessible au public.

On monte les escaliers et découvre la porte d'accès au milieux des placards du secrétariat.  

  La visite se fait seulement par petits groupes de 20, le guide inclus, car l'espace n'est pas grand, la boiserie encore fragile. L'intérieur a été nettoyé des saletés de pigeons qui avaient pris domicile sur les illustres places, le bois soigné et on pouvait admirer les statues qui ornent les murs entre les fenètres.